La relocalisation individuelle comme nouvelle forme d'expatriation
Auteur / Autrice : | Caroline Creven Fourrier |
Direction : | Sébastien Point |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de gestion |
Date : | Soutenance le 13/09/2018 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Augustin Cournot (Strasbourg ; 1995-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Humans and management in society (Strasbourg) |
Jury : | Président / Présidente : Jacques Jaussaud |
Examinateurs / Examinatrices : Maike Andresen, Michael Dickmann | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Éric Davoine, Carine Peeters |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Les missions internationales en entreprise ne parviennent plus à retenir les talents alors même que leur coût reste très élevé. La délocalisation de l’individu apparaît donc comme une nouvelle forme d'expatriation à mi-chemin entre expatriation auto-initiée et mission internationale en entreprise. Cependant, celle-ci résonne comme une violation du contrat psychologique liant l’individu à son entreprise. En effet, le diplôme ne semble plus protéger l’employé contre la délocalisation de son poste vers des pays à coût plus bas. Cette étude de cas a aidé à identifier les facteurs influençant les talents à accepter une relocalisation sous contrat local dans un pays à moindre coût. De ce fait, cette thèse fournit aux entreprises des éléments contributifs à la gestion globale des talents dans un contexte de délocalisation.