Auteur / Autrice : | Iman Ben Hamouda |
Direction : | Corinne Baujard |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de gestion |
Date : | Soutenance le 29/06/2018 |
Etablissement(s) : | Université Paris-Saclay (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences de l'Homme et de la société (Sceaux, Hauts-de-Seine ; 2015-2020) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut Mines-Télécom-Business School. Laboratoire en Innovation, Technologies, Economie et Management (Evry, Essonne) |
établissement opérateur d'inscription : Université d'Évry-Val-d'Essonne (1991-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Faouzi Bensebaa |
Examinateurs / Examinatrices : Corinne Baujard, Faouzi Bensebaa, Marc Bidan, Bérangère L. Szostak, Valérie Fernandes, Sandra Bertezene | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Marc Bidan, Bérangère L. Szostak |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Le secteur de la santé est caractérisé par une forte utilisation des technologies de l’information et de la communication et par le fait que le partage des connaissances y joue un rôle important dans l’amélioration de la qualité des soins. Cependant, peu de travaux de recherche ont abordé ce sujet dans la littérature. Ainsi, le but de notre recherche est d'explorer le partage de connaissances dans ce secteur, suite à la mise en place du dossier médical partagé dans les établissements de santé en France. Notre question de recherche repose sur la formulation suivante :Quels sont les enjeux du partage de connaissances sous-jacentes au dossier médical partagé ? Comment améliorer le partage de connaissances le secteur médical moyennant le DMP ?Pour répondre à cette question, nous avons adopté une recherche exploratoire basée sur une méthode d’analyse qualitative, une étude conduite au sein des établissements de santé en France. Trois problèmes majeurs ont été identifiés, à savoir le besoin d’une terminologie commune de santé, d’une interopérabilité des systèmes d'information de santé et d’un consentement éclairé de patient avant le partage de ses données sensibles. Pour remédier à ces problèmes, cette recherche propose un modèle conceptuel pour expliquer le partage de connaissances dans le secteur de la santé, ainsi qu’un modèle ontologique qui étend la nomenclature internationale (SNOMED CT) en y incluant la dimension de la vie privée pour sécuriser l'accès aux données sensibles.