La délégation de pouvoirs dans les sociétés commerciales de droit OHADA
Auteur / Autrice : | Oumy Diène |
Direction : | Denis Pohé Tokpa, Dieunedort Nzouabeth |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit privé et sciences criminelles |
Date : | Soutenance le 04/09/2018 |
Etablissement(s) : | Bordeaux en cotutelle avec Université Cheikh Anta Diop (Dakar, Sénégal ; 1957-....) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale de droit (Talence, Gironde ; 1991-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de Recherche en droit des affaires et du patrimoine (Pessac, Gironde) - Institut de Recherche en droit des affaires et du patrimoine (Pessac, Gironde) |
Jury : | Président / Présidente : Bernard Saintourens |
Examinateurs / Examinatrices : Bernard Saintourens, Céline Mangematin, Francine Mansuy, Arnaud Lecourt, Bi Oula Joachim Kassia | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Céline Mangematin, Francine Mansuy |
Mots clés
Résumé
C’est avec une ambition modeste que la délégation de pouvoirs est admise dans les sociétés commerciales de droit OHADA. La société anonyme en est la structure d’accueil. Les u travailorganes sociaux en sont les acteurs. Elle est mise en œuvre pour faire face une urgence due à l’empêchement du président ou pour asseoir la rapidité d’une action relative à une opération financière. Or, étant aujourd’hui reconnue comme technique de bonne gouvernance, la délégation de pouvoirs pour remplir une telle fonction en droit OHADA, est à généraliser. Tout dirigeant social doit avoir la liberté d’y recourir et les salariés, plus proches des réalités du terrain, doivent y être associés. Une telle appréhension de la délégation de pouvoirs appelle la conception d’un régime juridique précis qui garantit son jeu loyal.