Auteur / Autrice : | Sohee Han |
Direction : | Yves Winkin, Damien Malinas |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Communication |
Date : | Soutenance le 21/12/2018 |
Etablissement(s) : | Avignon |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale 537 « Culture et patrimoine » (Avignon) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre Norbert Elias |
Jury : | Président / Présidente : Emmanuel Ethis |
Examinateurs / Examinatrices : Emmanuel Ethis, Emmanuelle Lallement, Bertrand Réau, David Bourbonnaud | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Emmanuelle Lallement, Bertrand Réau |
Mots clés
Résumé
De nos jours, nombre de villes ont développé leur propre festival. Un festival est un événement qui transforme la ville et constitue un atout qui contribue à la distinguer. Dans cette situation, l’analyse d’une ville ne peut ainsi faire abstraction de l’événement festivalier et de la relation qui l’unit à la société de la ville. Cette relation est examinée à partir de la notion de festivalisation et conduit à envisager conjointement deux points de vue, celui des habitants et celui des visiteurs. On analyse ainsi ce qui se passe autour des habitants qui vivent au rythme du festival et autour des visiteurs, à la fois pendant le festival et pendant le reste de l’année. A travers ces points de vue dits « endogène » et « exogène », la festivalisation amène à se poser la question du « rassemblement » au niveau international à l’ère du numérique en privilégiant l’approche de l’anthropologie de la communication. Dans cette thèse, on analyse la festivalisation en s’appuyant sur la société avignonnaise : le Festival d’Avignon, les Avignonnais et les visiteurs asiatiques avec, en miroir, le Festival d’Édimbourg et les Écossais.