Auteur / Autrice : | Paula Aguilera Aguilera |
Direction : | Vincent Geli, Marie-Noëlle Simon |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Pathologie humaine. Oncologie |
Date : | Soutenance le 27/11/2018 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole Doctorale Sciences de la Vie et de la Santé (Marseille) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de Recherche en Cancérologie de Marseille (CRCM) |
Jury : | Président / Présidente : Benoît Palancade |
Examinateurs / Examinatrices : Benoît Palancade, Michael Chang, Denise Aragnol, Sarah Lambert | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Michael Chang, Denise Aragnol |
Mots clés
Résumé
Les extrémités des chromosomes portent des structures nommées télomères, nécessaires à la survie des cellules. La sénescence réplicative induite par l’altération des télomères bloque les proliférations cellulaires excessives. Cependant, certaines cellules échappent à ce contrôle et deviennent immortelles. Je me suis intéressée aux mécanismes permettant de reconstituer des télomères fonctionnels par recombinaison chez la levure. Le noyau est divisé en sous-compartiments plus ou moins permissifs pour la recombinaison. J’ai étudié comment la localisation des télomères dysfonctionnels aux pores nucléaires (NPC) conditionne leur réparation et la prolifération des cellules. J’ai montré que les lésions réplicatives au télomères sont relocalisées aux NPC ce qui favorise leur réparation par un mécanisme conservatif. J’ai aussi montré la présence aux NPC de cercles d’ADN télomérique qui pourraient servir de matrice pour allonger les télomères et sortir de la sénescence réplicative.