Thèse soutenue

Les disparitions criminelles : enlèvements et séquestrations
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Auteur / Autrice : Caroline Saupique
Direction : Sophie de Mijolla-Mellor
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Psychologie. Recherche en psychanalyse et psychopathologie
Date : Soutenance le 19/10/2017
Etablissement(s) : Sorbonne Paris Cité
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Recherches en psychanalyse et psychopathologie (Paris ; 2001-....)
Partenaire(s) de recherche : Equipe de recherche : Centre de recherches Psychanalyse, Médecine et Société (Paris ; 2001-....)
établissement de préparation : Université Paris Diderot - Paris 7 (1970-2019)
Jury : Président / Présidente : Houriya Abdelouahed
Examinateurs / Examinatrices : Sophie de Mijolla-Mellor, Houriya Abdelouahed, Loïck M. Villerbu, Magali Ravit
Rapporteurs / Rapporteuses : Loïck M. Villerbu, Magali Ravit

Mots clés

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Résumé

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40 000 disparitions de personnes sont signalées chaque année en France mais que signifie disparaître aujourd’hui ? Nous verrons à travers ce travail de thèse que derrière cette appellation se cache une multitude de scénarios que doivent envisager les enquêteurs pour résoudre l’énigme de l’absence. Alors, parmi toutes les hypothèses qu’ils vont soulever se situe l’objet spécifique de notre recherche : les disparitions criminelles que nous étudierons à partir des différents actes d’enlèvement, de séquestration et d’homicide. Nous en ferons une étude qualitative basée sur des affaires parues dans la presse, des écrits de victimes comme Natascha Kampusch et Sabine Dardenne mais aussi sur des cas issus de notre pratique clinique en milieu carcéral. Enfin, dans cette recherche exploratoire nous analyserons et interrogerons d’après une lecture analytique les mécanismes psychiques inhérents à ces actes criminels du point de vue des auteurs, des victimes et de leurs familles en fonction des modes opératoires.