Thèse soutenue

Sources appliquées aux cavités auto-alimentées pour les nouveaux réseaux d’accès multiplexés en longueur d’onde
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Auteur / Autrice : Anaëlle Maho
Direction : Badr-Eddine BenkelfatYann Frignac
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Télécommunications
Date : Soutenance le 19/01/2017
Etablissement(s) : Evry, Institut national des télécommunications
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Informatique, télécommunications et électronique de Paris
Partenaire(s) de recherche : Université : Université Pierre et Marie Curie (Paris ; 1971-2017)
Laboratoire : Services répartis- Architectures- MOdélisation- Validation- Administration des Réseaux / SAMOVAR - Département Electronique et Physique / EPH
Jury : Président / Présidente : Joël Jacquet
Examinateurs / Examinatrices : Yann Frignac, Philippe Chanclou, Cédric Ware, Romain Brenot
Rapporteurs / Rapporteuses : Joël Jacquet, Delphine Marris-Morini

Résumé

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Les réseaux d’accès sont particulièrement concernés par les montées en débit dans un contexte exigeant et compétitif. En 2013, les verrous technologiques autour des cavités auto-alimentées limitaient leur expansion. Notre propos fut de les aborder selon une approche “composant”. A partir de caractérisations croisées entre des RSOA variés et de simulations, nous avons montré: - l’importance du seuil du RSOA sur les performances globales ; - les rôles de l’émission spontanée, de la densité de porteurs, des recombinaisons Auger et de la hauteur des barrières ; - la sensibilité des RSOA fort gain au ripple. Livrés à nos partenaires, les RSOA bande O menèrent à des résultats à l’état de l’art tandis que les RSOA aluminium ne tinrent les promesses espérées. Nous cherchâmes alors à trouver des solutions alternatives. Comparativement au RSOA, Fabry-Pérot comme EAM-RSOA limitent le chirp et sont de plus grande bande passante. Toutefois, intégrés en cavité, ils ne dépassèrent pas les 2,5 Gbit/s pour un BER restreint. Pourtant, pris séparément, RSOA et EAM autorisent des débits jusqu’à 20 Gbit/s. Nous pensons qu’en remplaçant le tronçon de fibre par de l’optique en espace libre confirmerait le potentiel de ce concept