Le suicide dans les armées : Gérer un non-dit
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Auteur / Autrice : | Haïm Korsia |
Direction : | Éric Godelier |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de gestion |
Date : | Soutenance le 18/12/2017 |
Etablissement(s) : | Université Paris-Saclay (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences de l'Homme et de la société (Sceaux, Hauts-de-Seine ; 2015-2020) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement opérateur d'inscription : École polytechnique (Palaiseau, Essonne ; 1795-....) |
Laboratoire : Centre de recherche en gestion (Palaiseau ; 1972-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Sandra Charreire Petit |
Examinateurs / Examinatrices : Éric Godelier, Anne Sophie Avé | |
Rapporteur / Rapporteuse : Albert David, Patrick Clervoy |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
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L'enjeu de cette thèse est de définir ce que veut dire un suicide dans le monde militaire, de comprendre comment c'est un fait de gestion dans les armées et pourquoi il vaut mieux dire les choses afin de pouvoir mettre en place une véritable politique de prévention. Le tabou du non-dit de cette question dans les armées s’explique inconsciemment par le fait que chaque suicide d’un militaire vient contredire la fraternité d’arme que revendique l’armée comme étant son socle.