Thèse soutenue

Horizons perdus : comment le cinéma expérimental et la sculpture ouvrent à l'installation

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Auteur / Autrice : Jean-Baptiste Lenglet
Direction : Alain Bonfand
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : SACRe, arts visuels
Date : Soutenance le 24/03/2017
Etablissement(s) : Paris Sciences et Lettres (ComUE)
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Lettres, Arts, Sciences humaines et sociales (Paris ; 2010-....)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Équipe d'accueil SACRe - Sciences, arts, création, recherche (Paris) - Équipe d'accueil SACRe - Sciences, arts, création, recherche (Paris)
établissement opérateur d'inscription : École Nationale Supérieure des Beaux-Arts (Paris)
Jury : Président / Présidente : Antoine de Baecque
Examinateurs / Examinatrices : Alain Bonfand, Antoine de Baecque, Jacques Aumont, Éric de Chassey, Ange Leccia, Marie-José Burki, Frédéric Paul
Rapporteur / Rapporteuse : Jacques Aumont, Éric de Chassey

Mots clés

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Résumé

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La thèse de doctorat « Horizons perdus : comment le cinéma expérimental et la sculpture ouvrent à l’installation » explore l’idée d’animer un collage. Elle regroupe un ensemble d’œuvres, de natures diverses.Voyage circulaire en Asie, le projet est structuré en trois stations : Phnom Penh, Tokyo et Lhassa.Du filmage de ces villes à l’exposition finale, la pratique du collage est centrale. D’un médium à l’autre, d’une séquence à l’autre, il s’agit de découper des formes et de les présenter dans un nouveau contexte. Migration d’images, montage, composition… le collage a engagé une série de questions dont les réponses ont façonné ce travail.Dans la thèse, les villes sont autant un sujet d’étude qu’un modèle conceptuel. Les œuvres sont comme des architectures. Ce sont des espaces clos, d’essence sculpturale, qui se doivent ensuite d’entrer en relation afin de constituer un tout.Le titre « Horizons perdus » est peut-être la nostalgie de cette totalité.