Thèse soutenue

Rome et Naples, deux écoles de nature morte au XVIIe siècle et leurs échanges
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Auteur / Autrice : Michel Litwinowicz
Direction : Michel Hochmann
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Histoire de l'art
Date : Soutenance le 23/11/2017
Etablissement(s) : Paris Sciences et Lettres (ComUE)
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale de l'École pratique des hautes études (Paris)
Partenaire(s) de recherche : Établissement de préparation de la thèse : École pratique des hautes études (Paris ; 1868-....)
Laboratoire : Savoirs et Pratiques du Moyen Âge au XIXe siècle (Paris)
Jury : Président / Présidente : Philippe Sénéchal
Examinateurs / Examinatrices : Michel Hochmann, Philippe Sénéchal, Véronique Meyer, Elena Fumagalli, Emmanuelle Brugerolles
Rapporteurs / Rapporteuses : Véronique Meyer, Elena Fumagalli

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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L’école romaine et l’école napolitaine de nature morte comptent au XVIIe siècle parmi les plus importantes dans la peinture européenne. Pendant tout le Seicento, elles sont restées étroitement liées, en multipliant les tableaux de fleurs, fruits, légumes, poissons, gibiers, sous-bois.... La thèse étudie l’évolution de ce genre à Rome et à Naples et les resitue dans le vaste tissu des échanges culturels et stylistiques entre ces deux capitales. Elle analyse la place de la nature morte dans le marché de l’art (circulation, marchands, prix, estimations) et dans les collections. Le goût de mécènes variés pour ces tableaux est étudié. Des comparaisons formelles entre les œuvres de différents peintres, comme Mario dei Fiori et Paolo Porpora, Michelangelo Cerquozzi et Giovanni Battista Ruoppolo ou Giovanni Battista Recco et Gian Domenico Valentino sont effectuées. On explique également le rôle d’Abraham Brueghel, Andrea Bonanni, Alessandro dei Pesci, et Andrea Belvedere.