Auteur / Autrice : | Axel Rodriguez |
Direction : | Frédéric Wrobel, Antoine Touboul |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Électronique |
Date : | Soutenance le 02/03/2017 |
Etablissement(s) : | Montpellier |
Ecole(s) doctorale(s) : | École Doctorale Information, Structures, Systèmes (Montpellier ; 2015) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut d’Electronique et des Systèmes / IES |
Jury : | Président / Présidente : Jérôme Boch |
Examinateurs / Examinatrices : Frédéric Wrobel, Antoine Touboul, Jérôme Boch, Mourad Benabdesselam, Bruno Barelaud, Françoise Bezerra, Nathalie Chatry | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Mourad Benabdesselam, Bruno Barelaud |
Résumé
Les résultats de différentes expériences du CNES (Centre National d’Études Spatiales) embarquées sur satellites montrent que des composants SRAM et SDRAM subissent des erreurs atypiques, qui se caractérisent par une fraction d’emplacements mémoire présentant des erreurs récurrentes. Ces erreurs non-catégorisées représentent la quasi-totalité des erreurs détectées sur ces mémoires. Une revue interne du CNES a déterminé que ces erreurs étaient dues aux radiations présentes dans l’environnement spatial (protons, électrons, ions lourds). Cette thèse s’attache à reproduire ces erreurs atypiques au sol en utilisant des moyens d’irradiation et des accélérateurs de particules, à les caractériser ainsi qu’à expliquer le mécanisme physique menant à l’apparition de ces cellules endommagées. Le mécanisme physique que nous proposons est cohérent avec les données obtenues sous faisceau de particules et soutenu par nos simulations de type TCAD.