Auteur / Autrice : | Benjamin Bousquet |
Direction : | Véronique Dufaud, Alexandre Martinez |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Chimie |
Date : | Soutenance le 19/07/2017 |
Etablissement(s) : | Lyon |
Ecole(s) doctorale(s) : | École Doctorale de Chimie (Lyon ; 2004-....) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement opérateur d'inscription : Université Claude Bernard (Lyon ; 1971-....) |
Laboratoire : Laboratoire de Chimie OrganoMétallique de Surface (1994-2006) | |
Jury : | Président / Présidente : Micheline Draye |
Examinateurs / Examinatrices : Bastien Chatelet, Lorraine Christ | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Micheline Draye, Pierre Le Gendre |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Le dioxyde de carbone (CO2) est une molécule bien connue pour son impact environnemental et son origine anthropique. L'augmentation de sa concentration est en partie responsable du réchauffement climatique. Cependant, elle présente pour les scientifiques un fort potentiel. C'est une source de carbone abondante, renouvelable, non toxique, non corrosive et non inflammable. A l'échelle industrielle, un nombre important de synthèses peut se faire grâce à cette brique moléculaire et donc représente un intérêt économique croissant. Dans ce travail de thèse, nous aborderons la synthèse de carbonates cycliques par couplage d'époxydes avec du CO2. Nous verrons plus particulièrement de nouveaux systèmes catalytiques de symétrie C3 capables de réaliser ce couplage. D’un côté, nous verrons des systèmes catalytiques bi-composants basés sur des sels d’ammonium et des complexes métalliques dérivés de ligands tétra-azotés. D’un autre côté, nous étudierons l’influence de l’immobilisation de catalyseurs monocomposants, les azaphosphatranes, et ses implications en terme de réactivité catalytique