Influenza aviaire et co-infections : étude des interactions dans le modèle aviaire
Auteur / Autrice : | Sajid Umar |
Direction : | Maxence Delverdier, Mariette Ducatez |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Pathologie, Toxicologie, Génétique et Nutrition |
Date : | Soutenance le 12/01/2017 |
Etablissement(s) : | Toulouse, INPT |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences écologiques, vétérinaires, agronomiques et bioingénieries (Toulouse) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Interactions Hôtes - Agents Pathogènes (Toulouse ; 2003-....) |
Jury : | Président / Présidente : Elena Catelli |
Examinateurs / Examinatrices : Maxence Delverdier, Mariette Ducatez, Catherine Belloc, Ginette Dambrine, Pascal Arné, Jean-Luc Guérin | |
Rapporteur / Rapporteuse : Catherine Belloc, Ginette Dambrine |
Mots clés
Résumé
Ce travail vise à estimer l’impact de co-infections sur le terrain et à mieux comprendre le synergisme possible entre agents pathogènes en conditions expérimentales. Nous nous sommes intéressés à E. coli (O78) et au virus influenza faiblement pathogène (LPAIV, H6N1) dans le modèle dinde. Les oiseaux ont été infectés par voie aérosole pour reproduire l’infection respiratoire. L’excrétion virale ainsi que les lésions ont été plus importantes lors de la co-infection, ce qui suggère une patho-génicité accrue. Ces résultats montrent que E. coli et LPAIV ont un effet additif sur la maladie respiratoire lors qu’ils ont été inoculés soit simultanément soit en différé (à 3 jours d’intervalle) à des dindes naïves. En parallèle, nous avons étudié les virus respiratoires en circulation dans les élevages pakistanais. Des co-infections avec le LPAIV H9 (lignage G1) et le virus de la maladie de Newcastle (génotype VII) ont été fréquemment observées.