Réseaux sociaux et dématérialisation du traitement des revendications de masse pour un renforcement de la démocratie dans le monde arabe : Cas du Maroc : vers un CiRM à l'échelle de l'État
Auteur / Autrice : | Mohamed Amine El Mahfoudi |
Direction : | Vincent Meyer |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de l'information et de la communication |
Date : | Soutenance le 09/06/2017 |
Etablissement(s) : | Université Côte d'Azur (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sociétés, humanités, arts et lettres (Nice ; 2016-....) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement de préparation : Université de Nice (1965-2019) |
Laboratoire : SIC.Lab Méditerranée (Nice ; 2017-) | |
Jury : | Président / Présidente : Saïd Bennis |
Examinateurs / Examinatrices : Serge Miranda, Aawatif Hayar | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Fidelia Ibekwe-Sanjuan, Imad Saleh |
Mots clés
Résumé
Notre recherche a été établie dans le cadre du programme de recherché interdisciplinaire Langages, Objets, Territoires et Hospitalités (LOTH). Elle s’est appliquée à confirmer que seuls, les réseaux sociaux ne peuvent constituer un support unique pour gérer la démocratie locale et satisfaire les revendications collectives. Le chercheur a proposé une démarche plutôt mixte (CiRM) intégrant toutes les composantes essentielles pour moderniser et mettre à niveau de manière fondamentale le fonctionnement « client » de l’État (Physiques, humaines, virtuelles et technologiques). Cette démarche a été argumentée par une série d’enquête terrain qui démontrera le déficit dont souffre l’État marocain malgré les investissements technologiques élevés (réalisés mais désordonnés) en TIC. Ce sont à ces questions quecette thèse apporte des éléments de réponse et des outils d’analyse en vue de présenter une nouvelle manière pour instaurer la Gouvernance : tout gouvernement élu, sera essentiellement évalué sur le taux de satisfaction des attentes des citoyens et par rapport à son plan d’action annoncé via une logique de pondération et à travers des « indicateurs » de performance (gouvernementale) connus par tous et identifiés à l’avance (Pour éviter de tomber dans le piège de la distorsion de l’information entre le Citoyen et l’État).