Giles Lytton Strachey et la ''nouvelle biographie'' dans un contexte historiographique postmoderne
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Auteur / Autrice : | Alexandre Tremblay |
Direction : | Joanny Moulin |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Etudes anglophones |
Date : | Soutenance le 20/12/2017 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | École Doctorale Langues, Lettres et Arts (Aix-en-Provence) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire d'études et de recherches du monde anglophone (Aix-en-Provence, Bouches-du-Rhône) |
Jury : | Président / Présidente : Fiona McIntosh-Varjabédian |
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Charles Perquin, Patrick Di Mascio | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Roxanne Rimstead |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Résumé
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Cette thèse a pour objectif d’établir certains principes d’une potentielle théorisation de l’écriture biographiques. En liant des exemples prosaïques du XIXe siècle à certaines bases théoriques du XXIe siècle, il est question d’explorer les récurrences qui ont contribué à faire de certaines biographies des succès ou des échecs. En tant que biographe, essayiste et critique, Giles Lytton Strachey (1880-1932) est un sujet d’étude idéal qui permet d’analyser la relation entre le biographe, le biographié et le lecteur. Puis, selon le schéma structurel de la métahistoire proposé par Hayden White, il est possible d’émettre l’hypothèse que la biographie peut être un genre à part entière autant du point de vue de la forme que du fond.