Trois essais sur la trésorerie des entreprises
Auteur / Autrice : | Thomas David |
Direction : | Édith Ginglinger |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de gestion |
Date : | Soutenance le 24/11/2016 |
Etablissement(s) : | Paris Sciences et Lettres (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale SDOSE (Paris) |
Partenaire(s) de recherche : | Etablissement de préparation de la thèse : Université Paris Dauphine-PSL (1968-....) |
Laboratoire : Dauphine Recherches en management (Paris) | |
Jury : | Président / Présidente : Gilles Chemla |
Examinateurs / Examinatrices : Michel Dubois, Ulrich Hege | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Michel Dubois, Ulrich Hege |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Dans un environnement économique toujours plus compétitif, tendu et incertain, les entreprises doivent faire preuve d’adaptabilité, de précaution et d’anticipation. Ce manuscrit aborde ainsi plusieurs thématiques liées à ce constat, qui touchent de près la notion de gestion de trésorerie. Le premier essai de cette thèse montre que la distribution d’un dividende en actions permet aux entreprises de temporairement réduire la rémunération de leurs actionnaires, sans être sanctionnées par ces derniers. Ce mécanisme permet aux entreprises de conserver liquidités et flexibilité en période de contraction de l’économie. Le second essai traite du lien entre risque client et politique de gestion des liquidités. Un risque client accru semble alors pousser les entreprises à détenir plus de trésorerie et à moins recourir aux lignes de crédit. Enfin, le troisième essai justifie de l’intérêt d’établir des relations clients-fournisseurs de long terme. Ces partenariats apparaissent alors comme une source d’efficience et de profitabilité accrues du cycle opérationnel des entreprises.