Les risques psychosociaux au regard des relations individuelles et collectives du travail
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Auteur / Autrice : | Noémie Moyal |
Direction : | Martine Meunier |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit |
Date : | Soutenance le 19/04/2016 |
Etablissement(s) : | Paris Est |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Organisations, marchés, institutions (Créteil ; 2010-) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire Interdisciplinaire d'étude du Politique Hannah Arendt (Créteil) - Laboratoire Interdisciplinaire d'Etude du Politique Hannah Arendt Paris-Est |
Jury : | Président / Présidente : Jean-David Avenel |
Rapporteur / Rapporteuse : Charley Hannoun, Max Peyrard |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
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Aujourd’hui, parler de « risques psychosociaux » est devenu monnaie courante. Grâce à la médiatisation fulgurante des suicides au travail, un tabou est enfin levé : le lieu de travail est un terrain hostile !Si le Code du travail n’en fait nullement référence, ces risques psychosociaux sont, semble-t-il, « des risques pour la santé crées par le travail à travers des mécanismes sociaux et psychiques », d’après la Circulaire ministérielle du 18 Avril 2002. Face à un tel vide juridique et parce que ces risques traduisent un malaise social tant sur le plan des relations individuelles que collectives de travail, est venu le temps de l’articulation de l’individuel et du collectif. C’est l’heure pour le législateur d’entrer en scène …