Le symbole de l’eau et de la montagne, convergences et divergences au sein de la trilogie de l’écrivain colombien William Ospina et dans la poésie andine contemporaine
Auteur / Autrice : | Carolina Pinzon Hernandez |
Direction : | Patrick Quillier |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Littératures et civilisations comparées |
Date : | Soutenance le 08/07/2016 |
Etablissement(s) : | Nice |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Lettres, sciences humaines et sociales (Nice ; 1992-2016) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre transdisciplinaire d’épistémologie de la littérature et des arts vivants (Nice ; 2012-....) - Centre transdisciplinaire d’épistémologie de la littérature et des arts vivants |
Jury : | Président / Présidente : Odile Gannier |
Examinateurs / Examinatrices : Patrick Quillier, Odile Gannier, Claude Viot-Murcia, Florence Olivier, Modesta Suárez | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Claude Viot-Murcia, Florence Olivier |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
A travers l’étude isotopique de la trilogie de William Ospina, et des poèmes des représentants de « l’oralitture » latinoaméricaine, elle témoigne du processus d’acculturation et certainement de ce système de représentations que l’on désigne par Andin. La question de « l’andinité » est mise en évidence à travers les répétitions des sèmes et des termes construisant les symboles mythiques de l’eau et de la montagne que nous analysons en tant qu’isotopies. La problématisation concerne l’adoption de symboles, l’adaptation ou le transfert, mais aussi la résistance et le rejet des symboles mythiques issus du bagage symbolique chrétien. Or, si le monde des cordillères et ses eaux transparait le substrat précolombien, il y a aussi des liens entre le sens que la tradition européenne partage avec les cultures andines.