De bonis damnatorum : les biens du condamné dans l'ancien droit
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Auteur / Autrice : | Renaud Almeras |
Direction : | Jean-Luc Coronel de Boissezon, Pascal Vielfaure |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Histoire du Droit |
Date : | Soutenance le 14/12/2016 |
Etablissement(s) : | Montpellier |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Droit et Science politique (Montpellier ; 2010-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut d'histoire du droit (Montpellier) |
Jury : | Président / Présidente : Joël Hautebert |
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Luc Coronel de Boissezon, Pascal Vielfaure, Joël Hautebert, Elise Frêlon, Alexandre Jeannin, Rémy Cabrillac | |
Rapporteur / Rapporteuse : Elise Frêlon, Alexandre Jeannin |
Mots clés
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Mots clés libres
Résumé
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Le sort des biens du condamné a sollicité l'attention des juristes depuis toujours et particulièrement dans l'ancien droit. Ces biens sont naturellement revendiqués par le fisc au titre des peines patrimoniales fixées par les sentences des juridictions répressives. Cependant, certains mécanismes limitent les revendications du fisc qui pourraient apparaître comme abusives.De même, les proches et les ayants cause du condamné défendent leur propre droit sur les biens compris dans la confiscation. Ils refusent de supporter la peine d’un crime qu'ils n'ont pas commis. Cependant, leur proximité avec le délinquant peut les rendre suspects, et ainsi fragiliser leurs droits.