Mobilité internationale des travailleurs salariés en droit français et en droit algérien : étude comparative
Auteur / Autrice : | Abdelhafid Dib |
Direction : | Bruno Siau |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit privé et Sciences Criminelles |
Date : | Soutenance le 07/12/2016 |
Etablissement(s) : | Montpellier |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Droit et Science politique (Montpellier ; 2010-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : École de droit social de Montpellier |
Jury : | Président / Présidente : Daniel Mainguy |
Examinateurs / Examinatrices : Bruno Siau, Daniel Mainguy, Franck Petit, Guillaume Champy | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Franck Petit, Guillaume Champy |
Mots clés
Résumé
La mobilité internationale des travailleurs est perçue comme un facteur de développement pour les États, qu’ils soient d’origine ou d’accueil. Elle est la solution aux carences de compétences et de mains d’œuvres, elle constitue un facteur de transfert et d’acquisition du savoir-faire et de technologie pour les États de même que pour les travailleurs. Cependant, la mobilité internationale des travailleurs révèle un cadre juridique complexe, puisque d’un côté elle est liée à certains droits fondamentaux qui impliquent forcément des conséquences, et d’un autre côté l’usage inapproprié de ses qualifiants prête à la confusion entre les différentes formes de cette mobilité. Toutefois, sa mise en œuvre ne reste pas sans conséquences puisqu’elle implique des effets mitigés pour les trois principaux acteurs : les États, les entreprises et les travailleurs. C’est ce que cette étude propose d’illustrer.