Le principe d'autonomie des universités françaises
Auteur / Autrice : | Sophie Bensmaine-Coeffier |
Direction : | Henri Oberdorff |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit Public |
Date : | Soutenance le 05/07/2016 |
Etablissement(s) : | Université Grenoble Alpes (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale sciences juridiques (Grenoble, Isère, France ; 2003-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre d'études sur la sécurité internationale et les coopérations européennes (Grenoble, Isère, France ; 199.-....) |
Jury : | Président / Présidente : Charles Fortier |
Examinateurs / Examinatrices : Sébastien Bernard | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Hélène Pauliat, André Legrand |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Toute nation fait désormais face à un lieu commun selon lequel, le développement et la qualité de son fonctionnement dépendront plus que jamais du niveau de son enseignement supérieur, tant du point de la formation que de sa recherche et sa valorisation. Si en France, l’enseignement supérieur est fortement marqué par le poids de l’Etat, et de la conception du service public, force est de constater qu’il fait aujourd’hui face à de nombreuses évolutions marquantes : l’augmentation de l’offre et de la demande, la diversification des enseignements à la fois dans les domaines à enseigner et dans les méthodologies d’enseignement, la mise en concurrence.Le modèle français doit être repensé, dans le respect de ce qui fait l'essence même des universités, à savoir la liberté académique. Il faut alors penser ce qu’est l’action de l’Etat dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche.