Auteur / Autrice : | Elodie Bôle-Richard |
Direction : | Christophe Ferrand, Marina Deschamps |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de la vie et de la santé |
Date : | Soutenance le 24/06/2016 |
Etablissement(s) : | Besançon |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Environnements, Santé (Dijon ; Besançon ; 2012-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Interactions hôte-greffon-tumeur et ingénierie cellulaire et tissulaire (RIGHT) (Besançon) - Interactions hôte-greffon-tumeur et ingénierie cellulaire et tissulaire (Besançon) |
Jury : | Président / Présidente : Olivier Adotevi |
Examinateurs / Examinatrices : Christophe Ferrand, Marina Deschamps, Olivier Adotevi, Els Verhoeyen, Danièle Bensoussan-Lejzerowicz, Bruno Lioure | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Els Verhoeyen, Danièle Bensoussan-Lejzerowicz |
Mots clés
Résumé
La thérapie cellulaire est basée sur l'administration de cellules immunocompétentes dans le but d'induire une réponse thérapeutique. Le transfert de gène est un moyen d'optimiser et de sécuriser la thérapie cellulaire. Récemment, plusieurs essais cliniques d'immunothérapie ont montré l'efficacité de lymphocytes T reprogrammés pour le traitement des cancers. De plus, le transfert de gène « suicide » permet de sécuriser les effecteurs immunitaires utilisés en thérapie cellulaire. Cependant, les capacités des cellules pourraient encore être améliorées par l'expression de cytokines et de récepteurs aux chémiokines. Dans ce contexte, l'objectif de ce projet de thèse était le développement et la caractérisation d'outil innovants de thérapie génique. Ce travail a demandé le développement de vecteurs sécurisés pour 1 reprogrammation des lymphocytes T avec un CAR et leur persistance in vivo. Ces outils pourront par la suite être mis à la disposition de la recherche clinique afin de promouvoir de nouvelles stratégies de thérapi cellulaire anti-tumorale.