L'influence du temps sur le droit immobilier
Auteur / Autrice : | Joanna Genovese |
Direction : | Yves Strickler |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit |
Date : | Soutenance le 02/09/2016 |
Etablissement(s) : | Université Côte d'Azur (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Droit et sciences politiques, économiques et de gestion (Nice, Alpes-Maritimes ; 2008-....) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement de préparation : Université de Nice (1965-2019) |
Laboratoire : Centre d'études et de recherches en droit des procédures (Nice) | |
Jury : | Président / Présidente : Caroline Henry |
Examinateurs / Examinatrices : Yves Strickler, Caroline Henry, Gérard Mémeteau, Daniel Tomasin, Nadège Reboul-Maupin | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Gérard Mémeteau, Daniel Tomasin |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
L'influence du temps sur le droit immobilier pose plusieurs problèmes notamment quant à la qualification des termes utilisés. En effet, définir le temps, notion immatérielle par excellence, et le droit de l'immeuble, droit concret, semble paradoxal. Pourtant l'analyse de ces deux notions illustre les liens qui les unissent. Le droit immobilier utilise le temps pour créer, restreindre, voire éteindre certains droits et ce durant toutes les phases de l'immeuble : de sa construction à sa destruction. On oscille entre célérité et immobilité. Parallèlement le temps use l'immeuble, et le droit doit alors pallier les conséquences néfastes par le biais de diverses mesures. Il convient de trouver entre ces deux notions, de prime abord antinomiques, un juste équilibre qui permettra, tant dans leur approche théorique que dans leur application, au droit immobilier d'évoluer constamment et d'être le reflet d'une humanité en perpétuel mouvement.