Le groupe LAGARDERE face aux mutations des industries de la culture et de la communication.
Auteur / Autrice : | Michel Diard |
Direction : | Philippe Bouquillion |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de l'information et de la communication |
Date : | Soutenance le 30/01/2015 |
Etablissement(s) : | Sorbonne Paris Cité |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Érasme (Villetaneuse, Seine-Saint-Denis) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement de préparation : Université Sorbonne Paris Nord (Bobigny, Villetaneuse, Seine-Saint-Denis ; 1970-....) |
Laboratoire : Laboratoire des sciences de l'information et de la communication (Villetaneuse, Seine-Saint-Denis) | |
Jury : | Président / Présidente : Laurent Petit |
Examinateurs / Examinatrices : Dominique Cartellier, Bertrand Legendre, Juan Carlos Miguel de Bustos, Pierre Moeglin |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
De la Librairie Hachette à Lagardère, le groupe s’est profondément transformé. Le conglomérat issu de rapprochement d’Hachette avec Matra a abandonné toutes les activités des industries des hautes technologies, du transport et de l’automobile. Ce travail vise à déceler les traces des étapes successives de transformation du groupe pour éclairer les racines de ses choix stratégiques et son positionnement actuel au sein des industries culturelles. Il vise aussi à analyser les conditions de sa financiarisation et de ses mutations technologiques, puis ses stratégies vis-à-vis des industries de la communication. Les activités et les mutations de chacune des quatre branches actuelles du groupe, Lagardère Publishing (livre), Lagardère Active (presse, radio, télévision, production audiovisuelle, numérique et publicité), Lagardère Services (distribution et commerce de détail en zones de transport) et Lagardère Unlimited (gestion de droits sportifs et divertissement) font l’objet d’un examen séparé, analysant leurs spécificités et leurs stratégies, comparées à celles de leurs concurrents respectifs. Ce travail étudie enfin comment les stratégies de Lagardère interrogent les théories des industries culturelles.