Contribution à l'étude des pratiques instrumentées des formateurs d'adultes : le cas du Diplôme Initial de Langue Française (DILF)
Auteur / Autrice : | Aurélie Beauné |
Direction : | Georges-Louis Baron, Margaret Bento |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de l'éducation |
Date : | Soutenance le 20/11/2015 |
Etablissement(s) : | Sorbonne Paris Cité |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences humaines et sociales : cultures, individus, sociétés (Paris ; 1994-2019) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement de préparation : Université Paris Descartes (1970-2019) |
Laboratoire : Education Discours Apprentissages / EDA | |
Jury : | Président / Présidente : Éric Bruillard |
Examinateurs / Examinatrices : Georges-Louis Baron, Margaret Bento, Éric Bruillard, Thérèse Laferrière, Florence Mourlhon-Dallies | |
Rapporteur / Rapporteuse : Brigitte Albero, Thérèse Laferrière |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
À partir du début des années 2000, les gouvernements français ont engagé une série de réformes relatives au cadre institutionnel de la formation des migrants, comprenant notamment la création du DILF (Diplôme Initial de Langue Française) et des indications variées pour l'utilisation de Technologies de l'Information et de la Communication (TIC). Dans cette thèse, on a interrogé, à l'aide des théories de l'activité et, particulièrement, de la théorie des apprentissages expansifs (Engeström, 1987), l'impact de ces réformes sur les pratiques des formateurs. Il ressort des analyses que ces réformes ont modifié l'objet des activités de formation des migrants mais qu'au lieu de renvoyer à une transformation expansive, comme le suppose le cadre théorique mobilisé, elles renvoient davantage à une transformation restrictive.