Outils bioinformatiques pour l'analyse génétique de la résistance du moustique Anopheles gambiae vis-à-vis des parasites du paludisme
Auteur / Autrice : | Anaïs Vittu |
Direction : | Stéphanie Blandin |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Bioinformatique et biologie des systèmes |
Date : | Soutenance le 01/12/2015 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des Sciences de la vie et de la santé (Strasbourg ; 2000-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Modèles Insectes de l'Immunité Innée (Strasbourg) |
Jury : | Président / Présidente : Jean-Luc Imler |
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Luc Imler | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Hervé Seitz, Jacques Colinge |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Au cours de ma thèse, j’ai développé et mis en place de nouvelles méthodes utilisant les récentes technologies du séquençage à très haut débit, des outils bioinformatiques et du «reciprocal allele-specifique RNA interference » (rasRNAi) dans l’objectif d’identifier les facteurs génétiques et non génétiques responsables de la résistance du moustique Anopheles gambiae aux parasites du paludisme murin Plasmodium berghei. J’ai mis en place une stratégie d’identification des polymorphismes dans les lignées résistantes et sensibles afin de sélectionner des marqueurs génétiques pour de futures analyses génétiques et lister les gènes polymorphiques. J’ai contribué à l’élaboration de nouvelles sondes ARN double-brin (dsRNAs) allèle spécifique pour la méthode du rasRNAi en identifiant le processus de découpage du dsRNA injecté chez des moustiques par l’analyse des petits ARNs séquencés issus du dsRNA injecté. J’ai élaboré un pipeline pour identifier la composition du microbiote des lignées sensibles et résistantes dans le but de les comparer.