Auteur / Autrice : | Mélinda Marx |
Direction : | Alain Abelhauser |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Psychologie clinique |
Date : | Soutenance le 13/06/2015 |
Etablissement(s) : | Rennes 2 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences humaines et sociales (Rennes) |
Partenaire(s) de recherche : | PRES : Université européenne de Bretagne (2007-2016) |
Jury : | Président / Présidente : Michel Grollier |
Rapporteurs / Rapporteuses : Sidi Askofaré, Fabienne Hulak |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
S. Freud et J. Lacan, tout au long de leur élaboration ne cesseront, chacun à leur façon, de réaffirmer la place fondatrice, logique, du père dans la structuration du sujet. Position peu reconnue par les théories post-freudiennes, et qui trouvepourtant aujourd'hui une nouvelle actualité dans une culture situant dans le déclin du père la source de son malaise.« Qui est le père ? », « qu'est-ce qu'être père ? », « quoi dire au père ? ».... Le père pose de fait une question qui affronte le sujet à un réel, à un impossible à dire, tout en lui permettant de s’écrire.Ce travail de thèse se propose, d'une part, de montrer comment se pose et s’élabore la question du père chez Freud et Lacan. D'autre part, de ressaisir cette question dans sa fonction de nouage d'un « impossible à dire » et d'un « possible d'écrire », d'où va se déplier la logique d'une clinique du sujet en impasse.