Auteur / Autrice : | Armelle Le mouellic |
Direction : | Catherine Maumi |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Architecture |
Date : | Soutenance le 17/12/2015 |
Etablissement(s) : | Université Grenoble Alpes (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale sciences de l'homme, du politique et du territoire (Grenoble ; 2001-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Méthodes et histoire de l’architecture (Grenoble ; 1979-....) |
Jury : | Président / Présidente : Carola Hein |
Examinateurs / Examinatrices : Marc Bourdier, Judith Le Maire-Moetwil | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Jean-Louis Violeau, Philippe Bonnin |
Mots clés
Mots clés libres
Résumé
Ce détour par la pratique du machizukuri au sein du laboratoire du professeur Satoh Shigeru à l’université de Waseda apporte un autre regard sur les compétences de l’architecte. Le machizukuri s’inscrit dans le contexte particulier de la ville japonaise : sa morphologie, sa structure sociale et ses politiques urbaines. Le travail de « traduction » se poursuit par une histoire architecturale du machizukuri qui renseigne la formation d’outils et de pratiques spécifiques au sein du département d’architecture de l’université de Waseda. La thèse analyse la mobilisation de ces compétences au sein des exercices de préparation à la reconstruction dans l’arrondissement de Shinjuku conduits par le laboratoire de Satoh Shigeru et la manière dont l’architecte se positionne au sein d’un réseau d’acteurs.La thèse a été menée au sein du laboratoire les Métiers de l’Histoire de l’Architecture, édifices-villes-territoires, ENSA de Grenoble.