Thèse soutenue

Microfinance et réduction de la pauvreté : le cas de Djibouti
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Auteur / Autrice : Ibrahim Robleh
Direction : Jacques Marie VaslinJaime Marques-Pereira
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Sciences de gestion
Date : Soutenance le 19/02/2015
Etablissement(s) : Amiens
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale en Sciences humaines et sociales (Amiens)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Centre de Recherche sur les Institutions, l'Industrie et les Systèmes Économiques d'Amiens (1996-....)
Jury : Président / Présidente : Nikolay Nenovsky
Examinateurs / Examinatrices : Jacques Marie Vaslin, Jaime Marques-Pereira, Nikolay Nenovsky, Éric Séverin, Zaka Ratsimalahelo, Célestin Mayoukou
Rapporteurs / Rapporteuses : Éric Séverin, Zaka Ratsimalahelo

Mots clés

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Résumé

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La microfinance représente, de part le monde, un moyen de lutte contre la pauvreté en améliorant les conditions de vies des ménages pauvres. Ses effets bénéfiques sont surtout connus dans les pays en voie de développement et elle représente une autre source de financement pour les populations pauvres qui n'ont pas accès aux banques. Cette potentialité du secteur de la microfinance a retenu l'attention des pouvoirs publics, à Djibouti, pour lutter contre la pauvreté et des financements importants ont été investis dans ce secteur. Les enquêtes Djiboutiennes auprès des Ménages (EDAM, 2002 et 2012) ont montré une progression de la pauvreté. Les différentes politiques de lutte contre la pauvreté mises en place depuis la fin des années 90 ont eu un impact très faible dans la lutte contre la pauvreté. Mais peut-on généraliser cet impact positif de la microfinance ? Pour le cas de Djibouti, la microfinance est-elle la réponse adéquate face aux besoins des populations nécessiteuses ? Notre thèse cherche à vérifier par des données empiriques si l'hypothèse d'un impact positif sur le bien-être des clients est toujours d'actualité à Djibouti