Thèse soutenue

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Auteur / Autrice : Monica Rivière
Direction : Pierre-Xavier Meschi
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Sciences de Gestion
Date : Soutenance le 04/09/2015
Etablissement(s) : Aix-Marseille
Ecole(s) doctorale(s) : Ecole Doctorale Sciences Economiques et de Gestion d'Aix-Marseille (Aix-en-Provence)
Partenaire(s) de recherche : Institut : Institut d'administration des entreprises (Puyricard, Bouches-du-Rhône)
Equipe de recherche : Centre d'études et de recherche en gestion d'Aix-Marseille
Jury : Président / Présidente : Alain Ged
Examinateurs / Examinatrices : Pierre-Xavier Meschi, Alain Ged, Ana Colovic-Lamotte, Ulrike Mayrhofer, Ludovic Dibiaggio
Rapporteurs / Rapporteuses : Ana Colovic-Lamotte, Ulrike Mayrhofer

Résumé

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L'une des principales préoccupations des chercheurs et des praticiens dans le domaine de la stratégie durant la dernière décennie a été de comprendre comment les entreprises développent et maintiennent leur avantage concurrentiel. Bien qu'il existe de nombreux travaux théorisant le renouvellement des ressources et compétences des entreprises à la fois dans le champs de la stratégie et des organisations, les études empiriques sont rares et la plupart du temps aboutissent à des conclusions ambiguës. Notre objectif est de mieux comprendre le rôle de l'internationalisation des entreprises dans leur capacité à renouvellement leurs ressources et compétences. A cette fin, nous théorisons à la fois le renouvellement et l'internationalisation en tant que processus pour capturer, développer, partager et optimiser les connaissances propices à l'internationalisation et au maintien d’une performance supérieure (Cavusgil & Knight, 2015: 10). Le processus de renouvellement des ressources et compétences se fonde sur les pratiques de détection et de saisie des opportunités stratégiques et de renouvellement de l'entreprise (Teece, 2007). Le processus d'internationalisation, d'autre part, est étudié à travers trois dimensions: la dynamique d’expansion géographique, celle d’expansion « en profondeur » (que l’on appellera le chemin d’internationalisation), et la vitesse (ou rythme) d’internationalisation