Les toitures végétalisées, puits et sources d’éléments en traces métalliques
Auteur / Autrice : | Julie Schwager-Guilloux |
Direction : | Jean-Louis Morel, Véronique Ruban |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences agronomiques |
Date : | Soutenance le 26/06/2014 |
Etablissement(s) : | Université de Lorraine |
Ecole(s) doctorale(s) : | RP2E - Ecole Doctorale Sciences et Ingénierie des Ressources, Procédés, Produits, Environnement |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire sols et environnement (Vandoeuvre-les-Nancy ; 1999-2010) |
Jury : | Président / Présidente : Cécile Delolme |
Examinateurs / Examinatrices : Rémy Claverie, Marie-Odile Simonnot, Maeva Sabre | |
Rapporteur / Rapporteuse : Marie-Christine Gromaire, Mathieu Javaux |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Malgré la présence d’un sol et de plantes, l’impact des toitures végétalisées sur la qualité des eaux est mitigé, celles-ci n’étant pas conçues pour retenir les polluants. Afin d’améliorer cette fonction, il est important de mieux comprendre les flux de polluants dans ces structures. Dédiée aux métaux, cette thèse est basée sur deux étapes : - le suivi de six toitures végétalisées construites en 2010 (Nancy), via des prélèvements d’eaux de pluie et toitures, plantes et matériaux. - Une caractérisation en laboratoire des matériaux via des observations à l’échelle miscroscopique, des essais de sorption et lixiviation. Les caractéristiques des matériaux sont globalement favorables au stockage de métaux mais plusieurs en émettent également par lessivage de particules fines ou lixiviation d’ions. Même si elles n’ont pas de capacité de stockage particulière, les plantes peuvent avoir un impact direct et indirect sur la rétention des métaux. Des suggestions techniques sont tirées de ces résultats