Supercritical fluids synthesis of BaTiO3 based nanoparticles : study of the particles growth mechanisms, powder processing and ferroelectric properties
Auteur / Autrice : | Gilles Philippot |
Direction : | Cyril Aymonier, Rolf Jakoby, Catherine Elissalde |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Physico-Chimie de la Matière Condensée |
Date : | Soutenance le 16/10/2014 |
Etablissement(s) : | Bordeaux en cotutelle avec Technische Hochschule (Darmstadt, Allemagne) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des sciences chimiques (Talence, Gironde ; 1991-....) |
Partenaire(s) de recherche : | : Université Bordeaux-I (1971-2013) |
Laboratoire : Institut de chimie de la matière condensée de Bordeaux (Pessac) | |
Jury : | Président / Présidente : Mario Maglione |
Examinateurs / Examinatrices : Alain Ibanez, Fabien Rouge | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Miguel Algueró, Richard I. Walton |
Mots clés
Résumé
Dans un contexte où l’électronique est au centre de notre société, la productiond’appareils de plus en plus compacts et multifonctionnels concentre les efforts en rechercheet développement. Pour répondre à cette attente, une des options est d’augmenter lerendement volumique des composants passifs tels que les condensateurs, en se basant surl’utilisation de nanoparticules diélectriques du type BaTiO3. Dans un premier temps,l’objectif est d’optimiser la synthèse des nanoparticules de BaTiO3 et de comprendre leursmécanismes de formation en milieux fluides supercritiques. Pour ce faire nous avonscombiné des méthodes d’analyses ex situ telles que la microscopie électronique, ladiffraction des rayons X, et les spectroscopies Raman ou infra rouge à des mesures in situsynchrotron de diffraction des rayons X aux grands angles. L’étude a par la suite ététransposé à l’élaboration de la totalité des solutions solidesBa1-xSrxTiO3 (0 ≤ x ≤ 1) et BaTi1-yZryO3 (0 ≤ y ≤ 1). Une fois les synthèses optimisées, l’utilisation du spark plasma sintering(SPS) nous a permis de mettre en oeuvre des céramiques denses et nanostructurées,préservant la taille initiale des particules (20 nm), ceci afin d’étudier les propriétésintrinsèques des matériaux à l’échelle nanoscopique. Enfin, connaissant les propriétés debase de ces nanomatériaux, nous avons pu commencer à développer des matériauxhybrides diélectriques pour l’électronique flexible.