La nutrition parentérale chez les patients en phase palliative de cancer : de ''l'oralité bouche'' à ''l'oralité cutanée''.
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Auteur / Autrice : | Florence Mathieu-Nicot |
Direction : | Patrice Cuynet |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Psychologie |
Date : | Soutenance le 08/12/2014 |
Etablissement(s) : | Besançon |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Langages, Espaces, Temps, Sociétés (Besançon ; 1991-2016) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire de Psychologie (Besançon) - Laboratoire de Psychologie |
Jury : | Président / Présidente : André Mariage |
Examinateurs / Examinatrices : Patrice Cuynet, André Mariage, Marie-Frédérique Bacqué, Jean-Marc Talpin, Régis Aubry, Danièle Brun | |
Rapporteur / Rapporteuse : Marie-Frédérique Bacqué, Jean-Marc Talpin |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
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La pratique de la prescription de la nutrition parentérale en phase palliative d’un cancer soulève différentes réactions chez le malade. Dans ce travail, nous proposons d’orienter notre réflexion vers une approche psychologique de l’image inconsciente du corps. En interrogeant des patients qui acceptent ou refusent ce nouveau type d’alimentation, nous viendrons questionner le rôle de certaines fonctions du « Moi-peau » définit par Didier Anzieu. Effectivement, la création d’une zone artificielle de nutrition vient perturber l’image du corps dans le registre pulsionnel de l’oralité. Comment le Moi du sujet peut-il économiquement investir ou non cette nouvelle zone du corps ?