Etudes de deux protéines chaperonnes des acides nucléiques de virus de l’immunodéficience humaine type 1 : Vif et la protéine nucléocapside
Auteur / Autrice : | Dona Akil |
Direction : | Carine Tisné |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Biochimie |
Date : | Soutenance le 18/01/2013 |
Etablissement(s) : | Paris 5 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Médicament, toxicologie, chimie, environnement (Paris ; 2010-2013) |
Jury : | Président / Présidente : Frédéric Dardel |
Examinateurs / Examinatrices : Carine Tisné, Frédéric Dardel, Olivier Mauffret, Gilles Mirambeau, Marylène Mougel, Jean-Christophe Paillart | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Olivier Mauffret, Gilles Mirambeau |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Le travail de ma thèse porte sur l’étude des protéines chaperonnes des acides nucléiques chez le virus de l’immunodéficience humaine VIH-1.Ces protéines sont au nombre de trois : Tat, Vif et la Nucléocapside. Je me suis concentrée sur les deux dernières citées : Vif, dont j’ai réalisé une étude structurale et fonctionnelle en partant du gène, j’ai réussi à produire et purifier la protéine, que je l’ai caractérisée par des méthodes structurales comme la diffusion de lumière et le dichroïsme circulaire. J’ai étudié les interactions de cette protéine avec les acides nucléiques par spectroscopie de fluorescence et Résonance Magnétique Nucléaire (RMN). Et finalement j’ai participé aux tests d’activités chaperonnes. Pour la nucléocapside, qui est une protéine déjà connue au sein du laboratoire, j’ai examiné son rôle de protéine chaperonne lors de l’initiation de la transcription inverse. J’ai mis en évidence par RMN une interaction très controversée entre l’ARN génomique virale et l’ARNtLys3 qui joue le rôle d’amorce pour l’initiation de la transcription inverse.