Thèse soutenue

Economie de l'innovation, dépenses publiques productives et croissance économique : une étude empirique pour l'évaluation du rôle des infrastructures technologiques dans les pays de l'OCDE

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Auteur / Autrice : Sara Paulina De Oliveira Monteiro
Direction : Sandye Gloria-Palermo
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Sciences economiques
Date : Soutenance le 06/12/2013
Etablissement(s) : Nice
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Droit et sciences politiques, économiques et de gestion (Nice, Alpes-Maritimes ; 2008-....)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Groupe de recherche en droit, économie et gestion (Valbonne, Alpes-Maritimes)
Jury : Président / Présidente : Nathalie Lazaric
Examinateurs / Examinatrices : Sandye Gloria-Palermo, Nathalie Lazaric, Maria Adélaïde Duarte, Dimitri Uzunidis
Rapporteurs / Rapporteuses : Maria Adélaïde Duarte, Dimitri Uzunidis

Résumé

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Notre étude a pour objet de déterminer l’impact engendré par les infrastructures technologiques sur l’innovation et la croissance économique dans les pays de l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE). Nous allons nous inspirer de la théorie « Quadruple Helix of Innovation » (QH) pour construire un modèle théorique de croissance économique afin d’évaluer le rôle joué par un ensemble d’infrastructures technologiques, en présence des systèmes ouverts d’innovation et du « Mode 3 » de production des connaissances. Nous avons choisi la récente théorie QH au sein des Systèmes Nationaux d’Innovation (SNI) car elle décrit une nouvelle réalité économique où l’innovation est considérée comme le résultat de la co-création entre les entreprises, les citoyens, les universités et le gouvernement, dans un contexte caractérisé par l'existence de partenariats, de réseaux de collaboration et de relations symbiotiques. Un modèle théorique de croissance économique axé sur la R&D et avec des dépenses publiques productives sera élaboré afin de démontrer l’importance de l’existence des infrastructures technologiques et il sera possible d’apprécier les effets des dépenses publiques productives à travers une étude de « dynamique transitoire » et une analyse empirique fondée sur la nouvelle base de données CANA (2011).