La « gestion autonome » à l’épreuve du national-socialisme : Politique communale et opposition (1933 – 1945) : Carl Friedrich Goerdeler, Arthur Menge, Karl Strölin
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Auteur / Autrice : | Sylvie Wustefeld |
Direction : | Anne-Marie Saint-Gille |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Etudes germaniques |
Date : | Soutenance le 05/12/2013 |
Etablissement(s) : | Lyon 2 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Lettres, langues, linguistique, arts (Lyon ; 2007-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de Recherche en Langues et Cultures Europeennes |
Jury : | Président / Présidente : Jean-Paul Cahn |
Examinateurs / Examinatrices : Marcel Boldorf | |
Rapporteur / Rapporteuse : Ulrich Pfeil |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Résumé
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L’auteur s’interroge sur la validité de la thèse de l’État double du juriste Ernst Fraenkel pour l’administration communale dans l’Allemagne national-socialiste. Il cherche à mettre en évidence l’existence d’un réseau de sociabilité entre trois maires de grandes villes ayant été impliqués dans l’action du mouvement du 20 juillet 1944. Le lien entre l’implication des trois maires dans leur travail dans l’administration communale et leurs motivations pour se détourner du régime hitlérien est analysé. Une place particulière est accordée au principe de la « gestion autonome », base de l’administration communale allemande au début du XXe siècle.