Auteur / Autrice : | Emilien Varea |
Direction : | Bruno Renou, Vincent Modica |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Physique |
Date : | Soutenance le 30/01/2013 |
Etablissement(s) : | Rouen, INSA |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale sciences physiques mathématiques et de l'information pour l'ingénieur (Saint-Etienne-du-Rouvray, Seine-Maritime ; ....-2016) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Complexe de recherche interprofessionnel en aérothermochimie (Saint-Etienne-du-Rouvray, Seine-Maritime ; 1967-....) |
Jury : | Président / Présidente : Mourad Boukhalfa |
Examinateurs / Examinatrices : Gladys Moréac-Njeim, Fabien Halter, Laurent Selle | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Christine Mounaïm-Rousselle, Thierry Schuller |
Mots clés
Résumé
Bien qu'étudiée depuis plus de 100 ans, la détermination expérimentale de la vitesse de combustion reste compliquée. Dans ce travail de thèse, la configuration de flamme sphérique en expansion a été choisie. Cependant, il apparait plusieurs formulation pour cette vitesse de combustion. Ces dernières sont liées au référentiel de mesure qui est lié 1) au laboratoire, 2) au front de flamme et 3) au taux de réaction. Ces 3 formulations, bien que différentes par définition, doivent cependant converger vers une seule et unique valeur correspondant à la vitesse de combustion laminaire à étirement nul. Une étude comparant ces formulations pour des mélanges gazeux au nombre de Lewis bien défini a été menée. Il est montré que la formulation associée au front de flamme permet d'extraire une vitesse de combustion s'abstenant de toute hypothèse. Cette technique a été ensuite appliquée pour déterminer la vitesse de combustion de mélanges issoctane/éthanol et leur dépendance en pression (10 bars).