Auteur / Autrice : | Diane Marina Bignoumba Backouyanga |
Direction : | Christophe Gibout |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sociologie |
Date : | Soutenance le 24/06/2013 |
Etablissement(s) : | Littoral |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences économiques, sociales, de l'aménagement et du management (Villeneuve d'Ascq) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Territoires, Villes, Environnement & Société (TVES) |
Jury : | Président / Présidente : Helga-Jane Scarwell |
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Bernard Mombo, Hervé Flanquart | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Christophe Beaurain, Josiane Stoessel-Ritz |
Mots clés
Résumé
La fin des années 1970 dans la commune de N'Toum au Gabon est marquée par l'implantation d'une des plus importantes entreprises du pays dont la spécialité est l'extraction et la fabrication de clinker. Toutefois, l'activité de l'entreprise CIMGABON a des conséquences négatives qui se traduisent par une modification considérable du paysage environnemental. C'est pour remédier à cette situation commune à plusieurs entreprises du pays que le Gabon a opté, depuis la fin des années 1990, sous la pression des instances internationales notamment, pour une politique environnementale, mettant désormais au centre de l'action, les acteurs (politiques, sociaux, environnementaux....) pris dans une logique de co-gestion, comme coondition nécessaire à une meilleure gestion de l'environnement. La participation a ainsi permis de donner une légitimité à des acteurs souvent laissés pour compte. Cependant, ces acteurs rencontrent de nombreuses difficultés à se constituer en tant qu'entités à part entière de cette gestion environnementale, cette dernière demeurant donc chaotique.