Auteur / Autrice : | Christophe Cossou |
Direction : | Sean N. Raymond, Arnaud Pierens |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Astrophysique, plasmas, corpuscules |
Date : | Soutenance le 28/11/2013 |
Etablissement(s) : | Bordeaux 1 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des sciences physiques et de l’ingénieur (Talence, Gironde) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire d'Astrophysique de Bordeaux - Laboratoire d'Astrophysique de Bordeaux / LAB |
Jury : | Président / Présidente : Alessandro Morbidelli |
Examinateurs / Examinatrices : Aurélien Crida, Richard Nelson | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Alessandro Morbidelli, Caroline Terquem |
Mots clés
Résumé
Au delà du système solaire et de ses planètes, nous avons maintenant un catalogue de quasiment 1000 exoplanètes qui illustrent la grande diversité des planètes et des systèmes qu'il est possible de former. Cette diversité est un défi que les modèles de formation planétaire tentent de relever. La migration de type 1 est un des mécanismes pour y parvenir. En fonction des propriétés du disque protoplanétaire, les planètes peuvent s'approcher ou s'éloigner de leur étoile. La grande variété des modèles de disques protoplanétaires permet d'obtenir une grande variété de systèmes planétaires, en accord avec la grande diversité que nous observons déjà pour l'échantillon limité qui nous est accessible. Grâce à des simulations numériques, j'ai pu montrer qu'au sein d'un même disque, il est possible de former des super-Terres ou des noyaux de planètes géantes selon l'histoire de migration d'une population d'embryons.