La rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre du départ de Félix Eboué (1938) à la fermeture de l'usine Darboussier (1981)
Auteur / Autrice : | Roméo Terral |
Direction : | Danielle Bégot, Danièle Voldman, Jean-Pierre Sainton |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Histoire |
Date : | Soutenance le 25/06/2013 |
Etablissement(s) : | Antilles-Guyane |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale pluridisciplinaire (Pointe-à-Pitre ; 1996-2015) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : AIHP-GEODE (Schoelcher, Martinique) |
Jury : | Examinateurs / Examinatrices : Jean-Pierre Sainton |
Rapporteurs / Rapporteuses : Catherine Bernié-Boissard, Annie Fourcaut |
Mots clés
Résumé
La rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre (1961-1981) fut l'une des plus vastes jamais menée en France entre 1961 et 1981 et la première programmée en outre-mer. Elle avait pour but de répondre à la crise du logement et de réhabiliter des quartiers de cases insalubres qui s'étaient étendus de façon non maîtrisée sur des marécages situés autour de la ville. Cette rénovation urbaine ne fut pas simplement une opération d'aménagement car elle servit de front pionnier et de laboratoire aux acteurs de la composition urbaine en outre-mer par la mise en place d'organismes publics à qui l'État confia une compétence fonctionnelle pour aménager le territoire. A cette occasion furent introduits en Guadeloupe, une nouvelle architecture et un nouvel urbanisme retlet de la modernité.