La confiance dans la gestion et la culture japonaise
Auteur / Autrice : | William Evans |
Direction : | Jean-Luc Moriceau |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de gestion |
Date : | Soutenance le 19/12/2012 |
Etablissement(s) : | Evry, Institut national des télécommunications |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Science de la société (Evry) |
Partenaire(s) de recherche : | Université : Université d'Évry-Val-d'Essonne (1991-....) |
Mots clés
Résumé
Le Japon, détruit par une guerre mal combattue, élevé au rang de puissance mondiale, récemment touché par des phénomènes naturels et artificiels est une nation profondément reconnue dans le monde entier bien qu’incomprise, victime de son exceptionnalisme, aujourd'hui doit se poser une vieille question. Le Japon fera-t-il partie de la communauté internationale en tant que membre actif ? La participation du Japon dans le monde a été étroitement définie et limitée à celle d'un commerçant et son image soutenue par une culture unique autoproclamée font que ces éléments sont aujourd'hui mis à l'épreuve. La dépendance fondamentale du trader/commerçant basée sur des valeurs strictement culturelles afin d’atteindre le succès escompté peut aujourd'hui s’avérer insuffisante pour s’assurer une survie dans un monde globalisé. Ainsi, autant les japonais que les étrangers questionnent la validité des outils culturels qui ont permis de réussir jusqu'ici telle que la loyauté dans l'avenir du commerce mondial