Pour une clinique des souffrances subjectives dans la maladie d’Alzheimer
Auteur / Autrice : | Ina Moldoveanu |
Direction : | Laurent Ottavi, Claude Martin |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Psychopathologie |
Date : | Soutenance le 11/07/2012 |
Etablissement(s) : | Rennes 2 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences humaines et sociales (Rennes) |
Partenaire(s) de recherche : | PRES : Université européenne de Bretagne (2007-2016) |
Jury : | Président / Présidente : Dominique Somme |
Examinateurs / Examinatrices : Caroline Doucet | |
Rapporteur / Rapporteuse : Pascal-Henri Keller, Caroline Doucet, Blanche Le Bihan-Youinou |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Cette thèse vise à nuancer la problématique de la souffrance qui entoure la maladie d’Alzheimer, et notamment celle des malades, des proches et des soignants. Cette souffrance, que nous appelons souffrance Alzheimer, n’est pas uniforme, n’est pas constante, peut arriver à différentes étapes de la maladie chez différents sujets, elle n’est pas toujours liée directement à la maladie d’Alzheimer, même si la maladie peut favoriser son apparition. Cette souffrance Alzheimer n’est pas isolée, elle s’inscrit dans un contexte plus général de la souffrance psychique et sociale. Les réponses possibles afin de la soulager ou diminuer sont multiples : elles peuvent être individuelles (chaque sujet tente, en mesure de ses possibilités de faire face) ou collectives (associations, groupes de paroles), subjectives (la création) ou scientifiques (traitements), ainsi que politiques ou sociétales