Généalogie de la faible percée du discours sur l'intelligence économique dans les Tpe françaises : errements épistémologiques et propositions opérationnelles
Auteur / Autrice : | Pascal Frion |
Direction : | Nicolas Moinet |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de l'Information et de la Communication |
Date : | Soutenance le 07/12/2012 |
Etablissement(s) : | Poitiers |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sociétés et Organisations (Limoges ; 2009-2018) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de recherche en sciences de gestion (Poitiers) |
faculte : Institut d'administration des entreprises (Poitiers) | |
Jury : | Président / Présidente : Ludovic François |
Examinateurs / Examinatrices : Nicolas Moinet, Sophie Larivet | |
Rapporteur / Rapporteuse : Ludovic François, Eric Boutin |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
En situation fréquente de surinformation, comment devrions nous nous informer professionnellement ? Les discours sur l'intelligence économique en France, tentent de répondre à cette question depuis le début des années 1990 par des discours qui ont obtenu de faibles résultats auprès des (très) petites entreprises. Il y a eu errements épistémologiques. Ces discours ont été étudiés et leurs sous-jacents ont été identifiés. L'effet Gulliver, ou l'action de regarder le monde avec les yeux d'un géant, associé à la croyance que l'information est toujours une « bonne chose » sont fragiles. Les petites entreprises ont résisté à ce discours qui a faiblement percé. Une proposition de sous-jacents robustes a été proposée, ainsi que la théorie du « Refus Méthodologique de l'Information » temporaire. Les (très) petites entreprises doivent s'informer autrement à l'ère de l'information. Plus généralement, une révolution plus complexe émerge : c'est une révolution hubbléenne