Thèse de doctorat en Études latines
Sous la direction de Michèle Fruyt.
Soutenue le 01-12-2012
à Paris 4 , dans le cadre de École doctorale Mondes anciens et médiévaux (Paris) , en partenariat avec Centre Alfred Ernout de recherches sur la langue latine (Paris) (équipe de recherche) et de Linguistique et lexicographie latines et romanes (Paris) (équipe de recherche) .
Le président du jury était Monique Goullet.
Le jury était composé de Jean-François Thomas, Jean-Paul Brachet, Carmelo Giuseppe Conticello.
Au VIème siècle après J.-Ch., les structures de la langue latine ne correspondent plus tout à fait aux normes de la langue classique, aussi bien du point de vue morphologique et sémantique que syntaxique. A travers l’étude comparative des constructions absolues entre un corpus d’auteurs classiques et un corpus d’auteurs tardifs, nous montrons l’émergence de nouvelles valeurs du participe, particulièrement le participe passé actif de verbes non déponents, en latin tardif, ou plus exactement une fréquence accrue de valeurs parfois attestées en latin classique et archaïque.
The Latin participle in the 6th century A.D. : morpho-syntax and semantics
In the 6th century A.D., the structures of the Latin language no longer entirelycorrespond to the norms of Classical Latin, from a morphological and semantic perspective aswell as a syntactical one.By means of a comparative study of absolute constructions in a corpus of classicalauthors and a corpus of later authors, we show the emergence of new participle values, inparticular the active passive participle of non-deponent verbs in Late Latin, or more precisely,a greater frequency of values sometimes attested in Classical and Archaic Latin.
Cette thèse a donné lieu à une publication en 2015 par L'Harmattan à Paris
Le participe en latin aux VIe et VIIe s. ap. J.-C. : syntaxe et sémantique
Cette thèse a donné lieu à une publication en 2015 par L'Harmattan à Paris
Le participe en latin aux VIe et VIIe s. ap. J.-C. : syntaxe et sémantique