Thèse soutenue

The last essays of Elia de Charles Lamb : traduction, introduction critique et notes
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Auteur / Autrice : Michel Jolibois
Direction : Suzy Halimi
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Études anglophones
Date : Soutenance le 10/01/2012
Etablissement(s) : Paris 3
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Études anglophones, germanophones et européennes (2009-2019 ; Paris)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Langues, Textes, Arts et Cultures du Monde Anglophone
Jury : Président / Présidente : Maryvonne Hutchins-Boisseau
Examinateurs / Examinatrices : Suzy Halimi, Maryvonne Hutchins-Boisseau, Felicity James, Jean-Pierre Naugrette

Mots clés

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Résumé

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La présente étude se propose de donner une traduction abondamment annotée de la seconde série des essais d’Élia qui paraissent dans les revues périodiques anglaises, entre 1820 et 1833. Dans un souci d’exactitude, cette traduction restitue les passages supprimés par l’auteur avant leur parution sous forme de recueil. Une attention toute particulière a été portée sur les traductions en français de certains essais d’Élia publiés séparément dans les revues du milieu du dix-neuvième siècle et sur les traductions plus modernes des Essais d’Elia, réunis en recueil, jusqu’à l’époque présente. Les Last Essays of Elia sont la dernière œuvre publiée par Lamb. La tentation était grande de chercher une continuité depuis les premiers écrits jusqu’aux LEE. Dans l’introduction critique, nous nous sommes efforcé de voir les différents aspects de l’oeuvre de Lamb qui est à la fois poète, journaliste, dramaturge, critique de théâtre et épistolier et qui connaît la notoriété dans le genre de l’essai, genre auquel il donne un souffle nouveau, grâce à la persona d’Élia. Le fait que Lamb ait été l’ami des premiers poètes romantiques anglais de l’époque, le fait que sa vie ait été marquée et bouleversée par le meurtre de sa propre mère de la main de sa sœur bien-aimée, confèrent à son œuvre un vif intérêt. Personnalité inclassable du Romantisme anglais, dont il est une figure mineure, humoriste amoureux des livres et de la langue du passé, Lamb n’en reste pas moins un chaînon indispensable pour comprendre la scène littéraire anglaise du début du XIXe siècle.