Auteur / Autrice : | Valérie Fiegenwald |
Direction : | Michel Tollenaere, Céline Cholez |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences et technologie industrielles |
Date : | Soutenance le 18/09/2012 |
Etablissement(s) : | Grenoble |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Ingénierie - matériaux mécanique énergétique environnement procédés production (Grenoble ; 2008-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Sciences pour la Conception, l'Optimisation et la Production de Grenoble |
Jury : | Président / Présidente : Maurice Pillet |
Examinateurs / Examinatrices : Michel Tollenaere, Céline Cholez, Maher Aidi, Lionel Roucoules, Samuel Bassetto | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Eric Ballot, Benoit Journe |
Mots clés
Résumé
Ce travail de thèse propose une approche pluridisciplinaire de la qualité dans les systèmes de production manufacturiers, couplant les approches d'ingénierie et de sociologie des organisations. Il s'intéresse aux risques de non-conformités qui peuvent se propager dans le processus de réalisation et atteindre le client final. Il est basé sur des études de cas réalisées chez Siemens E T HS (Energy Transmission High-voltage Substation), une entreprise produisant de faibles quantités de matériel haute-tension hautement personnalisé. Il propose tout d'abord une méthode qualité pour améliorer le système de détection des non-conformités en identifiant et en agissant sur ses faiblesses. Dans une deuxième approche, cette thèse propose des instruments organisationnels pour limiter la propagation des non-conformités entre les frontières organisationnelles et améliorer la résilience de l'organisation face à ces problèmes transfrontières. Les deux approches ont été mises en oeuvre dans l'entreprise étudiée puis étendues à une autre entreprise du groupe opérant sur le segment de la production de masse ce qui a permis de tirer des conclusions à la fois académiques et managériales pour les partenaires industriels.