Pharmacocinétique de population chez les nouveau-nés et jeunes enfants : vers un modèle optimal pour la vancomycine et le phénobarbital
Auteur / Autrice : | Amélie Marsot |
Direction : | Nicolas Simon |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Pathologie humaine |
Date : | Soutenance le 18/12/2012 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | École Doctorale Sciences de la Vie et de la Santé (Marseille) |
Jury : | Président / Présidente : Bernard Bruguerolle |
Examinateurs / Examinatrices : Nicolas Simon, Bernard Bruguerolle, Chantal Csajka, Saïk Urien, Silvy Laporte, Renaud Vialet | |
Rapporteur / Rapporteuse : Chantal Csajka, Saïk Urien |
Mots clés
Résumé
Les nouveau-nés et jeunes enfants forment une population spécifique pour laquelle les études cliniques sont rares et difficiles à mettre en œuvre. La modélisation pharmacocinétique permet de réaliser des études non invasives et est donc particulièrement bien adaptée à cette population. Tout comme pour l'expérimentation scientifique qui nécessite plusieurs études pour conduire à un consensus, plusieurs bases de données pharmacocinétiques sont nécessaires afin d'arriver à un modèle optimal généralisable. Néanmoins, de nombreux modèles pharmacocinétiques sont publiés pour une même molécule, indépendamment les uns des autres, sans que l'on sache clairement lequel est le plus adapté. Inversement de nombreuses molécules ne sont pas ou peu étudiées et ne permettent pas de conduire à des recommandations fiables.L'objectif de ce travail de thèse était de rechercher une stratégie pour privilégier un modèle par rapport à un autre et ainsi, conduire à un modèle optimal permettant d'émettre des recommandations. Nous avons choisi de centrer notre intérêt sur les études pharmacocinétiques de population en néonatalogie et plus précisément sur deux molécules: la vancomycine et le phénobarbital.