L'état de la création en arts plastiques en Iran depuis la révolution islamique
Auteur / Autrice : | Alireza Baghi |
Direction : | Jean-François Robic |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Arts plastiques |
Date : | Soutenance en 2011 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des Humanités (Strasbourg ; 2009-....) |
Résumé
Depuis la Révolution islamique en 1979, il faut considérer l'art iranien sous tous ses aspects. Multiplicité sans cesse jaillissante, des espaces de création et d’exposition. Et dans ses supports, et dans les matières travaillées. Un engouement pour les nouvelles technologies n'a cessé de proliférer sous le régime des Qâdjâr : photographie, cinéma, imprimerie, journaux et plus tard, la radio et la télévision ont été importés d’Occident comme autant de nouvelles ressources qui ont permis aux arts iraniens de se développer. On n’a jamais vu un Iran aussi varié en termes d’essor culturel qu’aujourd’hui. A son tour Internet œuvre beaucoup pour une reconnaissance identitaire de l’art iranien dans un champ désormais mondialisé. En conséquence les arts plastiques iraniens ont pu rompre avec les influences occidentales premières, et sont entrés de plain-pied sur le terrain parfois réduit, mais souvent libérateur de la mondialisation, et ont gagné une reconnaissance en termes de marketing mais également d'authenticité.