Analyse des propriétés viscoplastiques du fluide magnétorhéologique dans des conditions de travail d'un amortisseur
Auteur / Autrice : | Pawel Skalski |
Direction : | Krzysztof Woznica, Jerzy Bajkowski |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Génie mécanique |
Date : | Soutenance le 11/03/2011 |
Etablissement(s) : | Orléans en cotutelle avec Politechnika Warszawska |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences et technologies (Orléans ; 2009-2012) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire Pluridisciplinaire de recherche en ingénierie des systèmes, mécanique et énergétique (Orléans ; 2008-....) - Institut Pluridisciplinaire de Recherche en Ingénierie des Systèmes- Mécanique et Energétique |
Jury : | Président / Présidente : Wieslaw Grzesikiewicz |
Examinateurs / Examinatrices : Krzysztof Woznica, Jerzy Bajkowski, Wieslaw Grzesikiewicz, Gilmar Monpean, Marian Dudziak, Mariusz Pyrz | |
Rapporteur / Rapporteuse : Gilmar Monpean, Marian Dudziak |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Le but principal de ce travail est la présentation de la formulation mathématique et l’analyse des propriétés viscoplastiques du fluide magnétorhéologique dans des conditions d’exploitation d’amortisseur ainsi que la détermination des dimensions optimum de l’orifice d’écoulement du fluide MR dans le dispositif de ce type. Une analyse particulière de la littérature a été effectuée. Nous nous sommes limités à deux types d’amortisseurs: l’amortisseur LORD RD 1005-3 et le prototype d’amortisseur T-MR SiMR 132 DG. Les résultats expérimentaux ont permis de déterminer la limite élastique et la contrainte maximale de cisaillement du fluide MR sous tension en fonction de différentes vitesses de cisaillement, différentes intensités du courant, températures et hauteurs d’orifice d’écoulement. Les modèles viscoplastiques identifiés ont permis de simuler le comportement du fluide MR et de comparer les résultats numériques avec ceux obtenus par des mesures. On a constaté une bonne concordance des courbes tracées dans ces deux cas, ce qui permet de conclure qu’il est possible d’utiliser les modèles viscoplastiques des métaux pour décrire le comportement du fluide magnétorhéologique.