Auteur / Autrice : | Ihab Haidar |
Direction : | Alain Rapaport |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Mathématiques et modélisation |
Date : | Soutenance le 14/12/2011 |
Etablissement(s) : | Montpellier 2 |
Ecole(s) doctorale(s) : | Information, Structures, Systèmes (Montpellier ; École Doctorale ; 2009-2014) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : MISTEA - Mathématiques, Informatique et STatistique pour l'Environnement et l'Agronomie |
Jury : | Examinateurs / Examinatrices : Gerard Frédéric, Térence Bayen, Azaroual Mohamed |
Rapporteurs / Rapporteuses : Gouze Jean-Luc, Jean-Raynald de Dreuzy |
Mots clés
Résumé
Cette thèse adresse des problèmes liés à la modélisation des écosystèmes microbiens dans les sols.Les modèles de transport réactif sont très performants pour modéliser la biogéochimie d'un milieu poreux variablement saturé en tenant compte de plusieurs paramètres physiques et géochimiques mais ils n'intègrent pas (ou sinon de facon très sommaire) les activités microbiologiques dans les sols. Le modèle mathématique du chemostat est couramment utilisé en écologie microbienne. Dans le but d'une représentation spatiale plus simplifiée que les modèles de transport réactif mais suffisamment pertinente pour rendre compte de phénomènes biologiques, cette thèse est une première tentative pour comprendre la fonction entrées-sorties dans un chemostat structuré, et étudier comment une structure spatiale peut modifier cette fonction, et quels sont les paramètres clés.